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dimanche 30 octobre 2011

36 rue Botzaris - 75 019 Paris

C'est une nouvelle page qui va se tourner pour le défunt Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD).

Le siège du RCD à Paris dans le 19e arrondissement, le 23 juin 2011 par romainlange via Flickr

C'est dans cet article de SlateAfrique.com qu'on apprend que le RCD avait tout simplement laissé l'ensemble de ses archives, bien au chaud au 36 rue Botzaris après la révolution. Ce qui est le plus surprenant, c'est que ces archives n'auraient pas été découvertes si tôt, voire pas du tout, si nos jeunes, à la recherche d'un avenir meilleur en Europe, n'avaient pas élu domicile à cette adresse.

Dans ledit article ainsi que celui-ci nous apprenons que l'ensemble des archives allant de 1987 à 2011 étaient entreposée au 36 rue Botzaris. Suite à cette découverte,  une association a été créée, il s'agit de Botzaris, vérité et justice. Ce n'est pas avec surprise qu'on apprend que le RCD usait de son hégémonie de parti unique pour bénéficier de subventions d'entreprises tunisiennes exerçant sur le territoire français et notamment en prenant en charge le salaire de certains fonctionnaires tunisiens, il est fait mention "d'emplois fictifs" dans ledit article. On a également découvert dans ces archives la complicité de certains personnages politiques français qui feront l'objet de poursuites avant d'autres procès qui suivront en Tunisie pour des tunisiens cette fois-ci, le temps que l'ordre se rétablisse. Il y a par exemple Bâchir Khalfallah, secrétaire général de la ligue des droits de l'Homme africaine qui bénéficiait de quelques carottes pour servir les intérêts du parti ou encore les fameux rapporteurs et rapporteuses (9awada) que cet article cite ainsi :

[...] "Je vous communique les coordonnées des personnes, constatées par moi-même, qui ont voté pour "la carte bleu" et la "carte or" " (le bleu étant la couleur du parti Ettajdid, ancien Parti communiste tunisien, l’or la couleur du Parti social-libéral, le rouge celle du RCD). [...]

Une partie des archives est toutefois perdue à cause de l'alerte donnée par l'ambassade de Tunisie qui a entrainé la fermeture du local du RCD et la confiscation de trois-quarts des archives qui sont très certainement détruites aujourd'hui. On remerciera la police française pour son efficacité et sa rapidité d'exécution... 

Soumaya Taboubi (avocate alertée par les jeunes du 36 rue Botzaris) et Kamel Ouriemmi précisent toutefois que l'essentiel des archives est en lieu sûr, malgré les tentatives d'intimidation, notamment avec le vol du véhicule de l'avocate.

Cette affaire est donc à suivre avec beaucoup d'attention, mais les têtes vont-elles vraiment tombées...??

samedi 29 octobre 2011

Élections tunisiennes : Irrégularités constatées à travers le monde

Il y a de cela un peu moins de deux siècles, l'économiste David Ricardo démontrait la théorie de l'avantage comparatif. C'est cette théorie qui est à l'origine du libre-échange et donc, la "religion" de l'OMC. Cette théorie consiste à vanter les mérites que peut tirer un état qui a un avantage certain sur d'autres pour la commercialisation d'une matière première abondante ou d'un savoir-faire. On pourrait par exemple citer l'avancée du Japon en matière de robotique (pas vraiment au point pour une consommation de masse), la fabrication de missiles et fusées chez les Russes, ou encore la harissa pour la Tunisie !

Plus sérieusement, je fais référence à cette théorie pour introduire le virage qu'a connu un site tunisien d'information spécialisé dans le business : Businessnews.com.tn. Depuis la révolution, certains articles ont déçu pas mal de Tunisiens à cause de certaines orientations politiques, je choisirais celui-ci par exemple. D'ailleurs, le propriétaire du site, Nizar Bahloul connaît quelques soucis judiciaires.  Dans cet article, c'est la question de l'ensemble des irrégularités constatées par les observateurs lors de l'appel aux urnes du 20, 21 et 22 octobre 2011 à l'étranger et du 23 en Tunisie qu'on traite.
Ce n'est pas moins de 6 000 "dépassements" qui ont été relevés.

Nous n'allons pas contester ces irrégularités très certainement fondées, c'est d'ailleurs une preuve de la transparence qu'ont pu bénéficier nos premières élections libres. Ce qui est dommage, c'est qu'il aurait peut-être été judicieux de rappeler que rien ni personne n'est infaillible, sauf Dieu (pour les croyants). Et que dans les plus "grandes démocraties", qui ne mettent pas autant de moyens pour surveiller les actions de leurs électeurs et ont connu et connaissent des irrégularités, des phénomènes antidémocratiques, telle que la manipulation.

On pourrait par exemple citer les grands déballages à chaque nouvelle élection présidentielle en France et le jeu des médias.  Mais aussi des fraudes à la chaussette piégée, ou encore le coup d'état électronique de G. W. Bush ou encore cet article tunisien qui traite le même sujet.

Nous n'avons pas à rougir de ces irrégularités inhérentes à la nature humaine, même s'il est vrai que nous devrions tout de même tenter d'atteindre la perfection, même si cela est utopique.

La Vision d'Al dabaran invite donc les auteurs de ce type d'articles d'aller voir ailleurs et comparer au lieu de descendre purement et simplement l'image d'une élection libre et transparente qui mérite d'être saluée et renouvelée.

vendredi 28 octobre 2011

Le ciel de Dieu ? Article Québécois

Les Québécois, de part mon expérience sur le net ont une certaine façon de s'exprimer. Je ne parle pas des variations linguistiques, mais plutôt cette façon d'attirer l'attention sur eux. Je ne généralise pas, du moins, cela n'est pas mon intention, je ne fais que constater. D'ailleurs, vous avouerez que le titre de leur article (en bas de page) est assez cocasse...

Enfin bref, passons à la suite, ça ne sera que plus intéressant.

[...] C'était écrit dans le ciel - le ciel d'Allah. La Tunisie et la Libye sont toutes deux tombées, quoiqu'à des degrés d'intensité différents, aux mains des islamistes. [...]
L'auteur (Lisyane Gagnon) de l'article publié sur Cyberpresse - Canada, fait ici, sans avoir encore les éléments lui permettant de juger les "degrés d'intensité différents" des politiques Tunisiennes et Libyennes, commence très fort ! Sur quel élément se base-t-il ? Il se base sur la déclaration de Moustapha Abdeljalil, président du Conseil national de transition (CNT). Ce dernier avait en effet affirmer que la charia, la loi islamique, sera la principale source de la future législation Libyenne.

Ce que Lisyane Gagnon ne sait pas, c'est que généralement, un état musulman fera automatiquement référence à la loi islamique ou à l'Islam dans le code régissant le pays. Je dis bien "état musulman", car de toute manière, que cela soit la Tunisie ou la Libye, ces deux états sont essentiellement composés de musulmans, plus ou moins pratiquants et qui pour lesquels, la source juridique des textes de leurs états respectifs n'a aucune importance, du moment qu'il n'y a pas d'inégalités de traitement (la justice !), telle l'immunité de certains fonctionnaires. Car en vérité, nous le verrons plusieurs fois dans un avenir proche (incha Allah) et dans mes prochaines publications, l'Islam attache beaucoup d'importance à l'équité et la justice, il n'y a pas de hiérarchie au sein de cette religion, tel que le christianisme par exemple, tout simplement  parce que personne n'est l'élu de Dieu (il n'y en a plus, mis à part les prophètes et messagers  !) et aussi parce qu'il n'y a aucun passe-droit, aucun être humain ne doit être en capacité de soumettre un autre être humain, seul Dieu soumet ses créatures. Ceci est la Vision d'Al dabaran et cette vision, autrefois partagée par des êtres humains (en opposition aux barbares en costards) non-musulmans, a disparu avec l'avènement de la "démocratie", des "Droits de l'Homme", etc...

Attention, quand je pointe du doigt ces deux notions composant la politique moderne, cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas lieu d'être. mais ils ont surtout penchés vers une vision manichéenne des Libertés.

[...] Au moment même où le président du nouveau gouvernement libyen, Moustapha Abdelhajil, annonçait le règne de la charia et le retour de la polygamie, en Tunisie, le parti Ennahda, qui se définit comme un parti islamiste «?modéré?» (on verra à l'usage), s'avérait comme le grand vainqueur de ces premières élections libres, avec près de 40?% des suffrages.
Les grandes perdantes de ces «?révolutions?» confisquées seront évidemment les femmes - les Tunisiennes, qui étaient jusqu'ici les femmes les plus libérées du monde arabe, et les Libyennes, qui bénéficiaient sous la dictature de Kadhafi de plus de droits qu'elles n'en auront sous le régime que l'OTAN vient de mettre au pouvoir à Tripoli.[...]
Nous avons ici un exemple flagrant de la mauvaise foi de certains laïcards. Ce dernier ne voit pour la Libye que la charia et la polygamie. Il omet de dire, surement de manière volontaire, que la législation libyenne sera INSPIRÉE de la charia, tout comme la législation française qui tente de recueillir les pétrodollars du Moyen-Orient en intégrant des notions de la charia dans ses codes juridiques.

Pour ce qui est de la polygamie, tout comme la "démocratie" de bas étage que les dictateurs de la bonne conscience tentent de vendre ici et là, je préfère cela aux pratiques frivoles sur leurs territoires et ce, en toute hypocrisie. Une hypocrisie qui fait partie de leur paysage politique, sociétal, économique etc...

L'hypocrisie est un pêché selon n'importe quelle religion, dans l'Islam, ce pêché peut rendre mécréant le musulman et une place de choix est réservée aux hypocrites dans l'au-delà, c'est dire à quel point ces états qui se présentent comme modèle de société, devraient s'acheter des miroirs et voir la vérité en face, il y a comme un problème ! Un problème que partage toute personne lucide, musulmane ou non.

[...] En Tunisie, le parti qui détiendra les rênes du pouvoir se dit partisan d'un islamisme «?à la turque?», mais nombre de signaux annoncent autre chose. De nombreuses femmes confient à la presse internationale leur désarroi devant la montée d'un fanatisme de la «?rue?»?: des radicaux intimident les femmes non-voilées dans les transports publics, veulent les expulser des cafés... car derrière le discours policé d'Ennahda, s'agitent les extrémistes salafistes, qui viennent de donner une démonstration de force en réclamant violemment la fermeture de la chaîne télévisée qui avait diffusé le documentaire animé Persépolis, qui critique les mollahs iraniens. [...]
Ici, vous pouvez lire comment l'auteur, par son manque de discernement, associe le parti Ennahdha aux salafis qui réclamaient un Califat et qui avaient avancé leur propre parti "El tahrir". qui n'a finalement pas reçu les autorisations pour se présenter aux élections du 23 octobre 2011.

[...] Mais des sondages inquiétants dont faisait état hier le collègue Serge Truffaut du Devoir, montrent que la Tunisie, dans ses tréfonds, n'est peut-être pas la société séculière que l'on imaginait à partir de ses élites éduquées et cosmopolites. [...]
Les "élites éduquées et cosmopolites" dont l'auteur fait mention, sont en fait la partie la plus visible de la Tunisie, telles les cartes postales. Ces personnes faisaient partie du paysage médiatique de la Tunisie mais aucunement représentatives de la population. Cela démontre bien l'ignorance et le manque de clairvoyance des pseudos-défenseurs des Droits de l'Homme qui n'attachaient de l'importance qu'aux choses pour lesquelles ils ont un intérêt particulier à en tirer. Ils n'iront pas  chercher plus loin, malgré la poignée de personnes insignifiante qu'ils voyaient.

Cosmopolite disait l'auteur ? En Tunisie ? Cet état connait très peu d'immigration, seules les meilleures places sont réservées aux personnes venant d'autres contrées, la Tunisie n'est pas la France ou le Royaume-Uni.

Pour ce qui est de l'éducation, je mets au défi quiconque de prouver que seules les personnes ayant un niveau d'éducation faible ont choisi Ennahdha. Les personnes dont fait référence l'auteur, sont en fait les personnes noyées dans la culture universelle qui a pour objet de rassembler le Monde par la "culture", une culture qui ne peut rencontrer qu'un échec en terre musulmane correctement administrée.


jeudi 27 octobre 2011

Tunisie : Ce qu’ils ont compris

Cet article a pour objet de commenter l'article de Elyes Gheri sur le site Nawaat.tn dont un lien direct a été associé à la présente publication.

Entrons dans le vif su sujet !

[...] Certes, Ennahdha ayant 30% des voix signifie que 70% des électeurs ont voté pour autre chose. Mais le problème, c’est qu’Ennahdha a eu 30% des voix en jouant parfaitement le jeu (nauséabond) de la politique : on hausse ou on fait mine de hausser le ton par là, on rassure par ici. On fait le dos rond dans les médias, pendant que les militants quadrillent méthodquement le terrain. On fait exactement les mêmes conneries que les autres : argent sale, accointances suspectes avec des puissances étrangères, langue de bois, aveuglement criminel aux vagues répressives du pouvoir policier, recrutement douteux d’ex RCD, etc. [...]
 Cet article avait été publié deux jours après le rendez-vous fixé aux urnes du monde entier et surtout de la Tunisie, pour ainsi choisir ceux qui participeront à la rédaction de la nouvelle constitution de la Tunisie. Trente pour-cent sont ainsi annoncés dans cette citation mais nous savons tous aujourd'hui que le résultat final a placé Ennahdha en tête avec une avance écrasante sur son second.

Ce qui est délectable et l'avenir nous le prouvant très certainement, c'est l'incapacité de certains auteurs et autres commentateurs à rester le plus juste possible face à l'évidence, la réalité, sans utiliser des termes qui servent seulement à appuyer leur désaccord, leur incompréhension, leur haine...

Ce que n'a pas compris l'auteur que je cite, c'est qu'Ennahdha a choisi, tout comme ses pairs, la politique moderne pour se présenter au peuple. Chacun de ces partis a fait usage, à sa manière, de choses critiquables et en premier lieu, les accusations gratuites, sans preuves. A la différence qu'Ennahdha est une étape, le peuple tunisien devra évoluer pour une Tunisie meilleure à tout point de vue, même en matière de gouvernance d'un état.

[...] Dans son comportement, Ennahdha est un parti comme les autres. Il a juste plus de succès que les autres. Mais pourquoi ?

Dans un excellent article (1), Néjiba Belkadi nous explique la chose suivante :“[Le pouvoir tunisien] a dû répondre à une problématique essentielle : comment assurer une égalité pour que soit viable socialement l’assise de la monture du pouvoir ? Il a visiblement adopté un modèle égalitaire, de façade, chargé d’expulser le cœur de la Tunisie, comme pour garantir l’égalité de sa périphérie. Un modèle égalitaire entre pauvres et égalitaire entre riches et qui garantit le fossé entre les deux, un fossé chargé de rendre invisible cette inégalité.”

En d’autres termes la société tunisienne s’est construite pendant 50 ans sur la domination d’une frange de la société par une autre (ce qui est la nature de toute organisation sociale). Fracture sociale. Avec toutefois la possibilité de s’élever, notamment par la fonction publique (de Ahmed Mestiri à Ben Ali, mes deux grand-pères…).
Le pouvoir bourguibien a jeté du sel sur la plaie, en superposant à cette fracture sociale une fracture culturelle. Un choix clair avait été fait en faveur d’une “occidentalisation” de la société tunisienne (citadine) sur tous les plans : langue, moeurs (évolution plus lente), musique (le malouf plutôt que le mezouéd, ou Hédi Jouni à la TV plutôt que Salah Farzit), relations internationales, … Se rapprocher des puissants était l’un des dogmes de la diplomatie bourguibiste, et ben-alienne d’ailleurs). Fracture culturelle.

Sous Ben Ali, la profondeur des deux fractures culmine. Les réformes libérales initiées par Nouira atteignent leur vitesse de croisière, et par la mécanique structurelle de cette doctrine, la société tend à se scinder en deux : les pauvres, et les riches, de même que les grandes entreprises ont tendance à prospérer tandis que les PME rament.
Là où le modèle bourguibien avait réussi à installer et maintenir une classe moyenne importante, le système Ben Ali a travaillé à la détruire. La fonction publique n’est plus un ascenseur social, tout au plus la garantie d’un salaire maigre mais stable, et l’économie est la chasse gardée d’une poignée de familles mafieuses. La fracture sociale s’est donc accentuée.
[...]

Cette longue citation compare les effets de la politique de H. Bourguiba et Z.A Ben Ali et dépeint un tableau noir pour ce dernier en appuyant ses dires sur des statistiques. Mais en vérité, ce que l'auteur omet d'écrire, surement de manière volontaire, c'est qu'il compare une Tunisie à peine autonome indépendante et une Tunisie ayant profité de la manne financière des nouvelles classes moyennes européennes pendant leurs congés estivaux essentiellement.

Autrement dit, une Tunisie qui a entre temps triplé en terme d'habitants mais qui a aussi vieillit...
Il est donc tout à fait normal, que si la course à la croissance économique ne suit pas l'évolution démographique du pays, les opportunités professionnelles s'amenuisent d'autant. Ben Ali n'a donc pas creusé le fossé entre les classes sociales, mais il s'agit d'une simple conséquence conjoncturelle liée à divers paramètres et en premier lieu, l'évolution démographique et le modèle économique du pays.

Les conséquences des réformes de Nouira que l'auteur cite ne sont en fait que les conséquences du capitalisme. Un capitalisme qui n'était toutefois réservé qu'à la mafia tunisienne et ses proches collaborateurs, qu'ils soient Tunisiens ou non d'ailleurs.


Je ne tente pas ici de défendre un ex-dictateur, mais la Vision d'Al dabaran a pour objet d'être juste et sait reconnaitre l'évidence quand elle est présentée sous son nez. Un dictateur ne vaut pas mieux qu'un autre, il faut savoir reconnaitre les améliorations sous son règne, mais aussi ses méfaits, même s'il n'en est pas directement la cause...

mercredi 26 octobre 2011

Premier article : Présentation du blog

Pour ce premier article, je vais tenter d'être concis.
Cela fait un moment que je parcours le web (forums de discussion, blogs d'actualités etc...), et il suffit de taper mon pseudo sur un moteur de recherche pour s'apercevoir que ce dernier apparait souvent là où il est question de la Tunisie ou de l'Islam, car ces deux termes sont la source de mon identité, de ma vision des choses ; Ces deux mots me définissent.

Je vois déjà certains s'exclamer en me reprochant ma partialité dans les articles à venir et mon traitement de l'information, mais il faut savoir que nous sommes tous d'une manière ou d'une autre, influencés par quelque chose ou quelqu'un, le tout est de savoir reconnaitre ses erreurs, revoir ses positions et faire preuve de tolérance dans la mesure du possible. Car comme nous le verrons très certainement bientôt, le monde est vaste et tout comme ce monde, la notion de tolérance doit arborer une vaste panoplie de critères variant d'une région à une autre, d'un peuple à un autre.
Je ne tiens pas à être plus visible en publiant mon propre blog, mais le fait de voir tout et n'importe quoi sur le net, même sur des sites réputés être sérieux, m'a finalement poussé à me lancer et ainsi promouvoir, rendre plus visible encore, la Vision d'Al dabaran qui n'est en fait que la vision du monde à travers les yeux et le cœur de la communauté musulmane en générale.

Ce blog aura essentiellement pour objet de commenter l'actualité ou les réflexions d'internautes publiées ici et là sur la toile.

Les commentaires seront automatiquement modérés, car je suis comme vous, un être humain et nos erreurs peuvent parfois nous apparaitre "inaperçues".